Je suis donc partie trois jours à la mer. Trois jours, c’est peu, mais rarement trois jours n’ont été si bien employés, si nécessaires et si révélateurs. Disons que me transplanter ailleurs, pour réutiliser ma métaphore végétale, m’a permis plusieurs choses, et non des moindres. D’abord donc de me régénérer. J’avais besoin de nouveau, d’évasion,Poursuivre la lecture de "Régénération à l’île d’Oléron"
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